Port d’El Djemila (Aïn Benian) : Festival national des sports nautiques

Le port d’El Djemila de Aïn Benian à Alger sera, du 25 au 30 juin, le théâtre du Festival national des sports nautiques. Cette manifestation, qui est placée sous le haut patronage du ministre de la Jeunesse et des Sports, sera co-organisée par la direction la jeunesse, des sports et des loisirs de la wilaya d’Alger et la Ligue d’Alger de voile. Elle regroupera près de 200 participants issus des ligues de Aïn Témouchent, Oran, Tipaza, Alger, Boumerdès, Tizi Ouzou, Skikda et Annaba.
el watan : le 24 juin 2010

Le Nouveau Code Maritime Algérien

Dans l’histoire du droit de la république algérienne, une loi du 31 décembre 1962 avait reconduit dans tous les domaines la législation en vigueur à l’époque « sauf dispositions contraires à la souveraineté nationale » … « ou d’inspiration colonialiste ou discriminatoire … ou portant atteinte à l’exercice normal des libertés démocratiques ». Cette loi de 1962 avait donc pour effet de reconduire la législation maritime française en vigueur au 31 décembre 1962 qui était ancienne puisqu’elle s’inspirait du livre II du code de commerce, rédigé en 1807, promulgué en 1808. Par la suite, une ordonnance du 5 juillet 1973 est venue abroger la loi du 31 décembre 1962, et prévoir que toute législation devrait être algérianisée au 5 juillet 1975.
Cette ordonnance qui prévoyait dans son art. 3 qu’une instruction présidentielle en fixerait les modalités d’application ; or, cette instruction n’a jamais été donnée, a eu pour résultat d’accélérer le mouvement de codification et d’élaboration d’une législation spécifiquement algérienne. Et comme l’algérianisation à la date du 5 juillet 1975 n’a pu être tenu, le CMA ( 23/10/1976) prévoit la rétroactivité du code jusqu’à cette date dans son art. 887.
L’ordonnance n°76-80 du 23 octobre 1976 portant code maritime a paru au Journal Officiel de la République Algérienne Démocratique et Populaire du dimanche 10 avril 1977.
L’avènement d’un nouveau code maritime était à cette époque un événement, et d’autant plus, en la circonstance, qu’il s’agissait d’une codification entreprise par l’un des pays leaders du tiers monde. Cette codification répondait à une nécessité évidente : l’économie algérienne dépendait de son commerce extérieur et celui-ci s’effectuait par voie maritime.
Avec la chute du mur de Berlin, la fin du monopole, et intervention du FMI, le législateur algérien a vu la nécessité de modifier quelques dispositions du CMA afin de le mettre en harmonie avec la réalité économique. ( loi n°98-05 du 25 juin 1998 portant code maritime).
Cette modification a touché le navire (I), sa nationalité; l’exploitation commerciale du navire (II), la libéralisation des transports maritimes, régime de responsabilité du transporteur. Ce nouveau code a apporté une révolution dans le domaine de l’exploitation portuaire ( III), en ouvrant les activités de manutention et d’acconage au privé.
Caractères principaux du CMA
Le premier caractère qui ressort de la lecture du CMA est son caractère internationaliste. Le législateur algérien s’y est procédé en très nombreuses occasions par référence directe aux règles des conventions internationales existantes et la loi française.
Le CMA ne s’aligne pas nécessairement sur les conventions internationales les plus « modernes » lorsqu’il existe plusieurs moutures réglant le même domaine ; d’autre part, il peut se faire que l’Algérie ait adhéré ou ratifié une convention internationale et s’inspire de la concurrente de celle-ci pour organiser sa législation interne. (ainsi, l’Algérie a adhéré à la convention de Bruxelles de 1925 sur les privilèges et hypothèques, mais s’inspire de la convention de Bruxelles de 1967 pour organiser ce domaine. Le CMA renvoie purement et simplement à la convention de Bruxelles du 25 Août 1924 dans sa version originelle pour ce qui concerne les transports maritimes sous connaissement ratifiée par l’Algérie mais il fait référence au protocole modificatif de 1968 (art.805), il renvoie directement à la convention de Bruxelles de 1957 sur la limitation de responsabilité des propriétaires de navires (art.96), à la convention de Bruxelles de 1969 sur la responsabilité civile pour les dommages dus à la pollution par les hydrocarbures (art.121), la convention de Bruxelles de 1961 en matière de transport de passagers (art.), la convention de Bruxelles de 1967 en matière de transport de bagages par mer (art.824).
Dans d’autres domaines, la référence n’est pas aussi directe, mais l’inspiration reste certaine : ainsi la convention de 1910 inspirent certainement les règles de l’abordage et de l’assistance, alors que le règles de la Haye et York inspirent la réglementation des avaries communes (il s’agit pas là d’une convention internationale.
On trouve aussi référence à la convention des nations unis sur le droit de la mer (Monteo Bay 7/12/82), art.519 et art. 520, et la loi française : lettre de garantie (art.757) et les cas exceptés.
Notion de navire
Le navire est défini par l’art.13 comme : « tout bâtiment de mer ou engin flottant effectuant une navigation maritime, soit par son propre moyen, soit par remorque d’un autre navire, ou affecté à une telle navigation », et l’art.161 définit la navigation maritime comme celle qui est exercée sur mer et dans les eaux intérieures pour des navires tels qu’ils sont définis à l’art.13 de la présente ordonnance, et l’art. 162 stipule que la navigation maritime comprend :

la navigation auxiliaire relative au transport de marchandises et des passagers ;
la navigation auxiliaire concernant le pilotage, le remorquage, l’assistance et le sauvetage, le chalandage, le dragage, le sondage ainsi que la recherche scientifique en mer ;
la navigation de pêche… ;
la navigation de plaisance effectuée dans un but d’agrément ;
la navigation de servitude … .
Le CMA apporte des solutions quant à la qualification de certains objets et engins flottant en navire car d’une part, tout ce qui est affecté à la navigation maritime est considéré comme navire (un bateau de rivière est un navire), et d’autre part, les engins remorqués sont considérés comme navires.
Certains spécialiste de la question avancent 4 propositions pour définir un navire :

navire et dimension
navire, engin flottant
navire et eaux maritimes
navire et aptitude à affronter les risques de mer
le législateur algérien dans da définition du navire, la quatrième proposition n’existe pas car même les engins remorqués qui ne sont pas aptes à affronter les risques de la mer d’une part, et d’autre part ils sont dépourvus d’autonomie de conduite, sont considérés comme navire selon l’art.13.
Ces même spécialistes estiment qu’il faut exiger un minimum d’autonomie pour affronter les risques de la mer, les chalands tractés et les engins de forage peuvent être des engins nautiques, des bâtiments de mer. Ils ne sont pas des navires.
Il ajoute aussi, que le navire inapte à affronter les risques de la mer devient innavigable ce qui lui fait perdre la notion de navire. Il devient autre chose, soit une épave s’il est abandonné et gît au fond de l’eau, soit un simple engin, s’il est utilisé à d’autres fins que la navigation.
Le CMA est un droit des navires et non un droit des engins nautiques
Dans le fond...
Le CMA constitue la partie intégrale de la législation maritime algérienne. Cette nouvelle modification aura véritablement d’intérêt sur le plan interne, d’une part, comme la libéralisation des transports maritimes, les activités de consignation de navires, de cargaison et de courtage maritime dans le but d’encourager les investisseurs nationaux et étrangers, pour assurer une indépendance vis-à-vis des armements étrangers. Aussi la démonopolisation des activités de manutention et d’acconage constitue une grande chose dans l’exploitation portuaire algérienne, surtout qu’à une certaine époque, ces activités caractérisaient les transports vers l’Algérie. D’autre part, ce nouveau code marque un recul par rapport à l’ancien quant aux conditions d’algérianisation des navires et la participation des étrangers personnes physiques, et l’exercice des activités d’affrètement.
Sans que l’Algérie ait ratifie les nouvelles conventions internationales, elle s’inspire de leurs dispositions en les insérant dans le code maritime.
Ce nouveau code reste muet sur certaines questions importantes comme l’algérianisation des navires loués en crédit-bail ou affrétés coque nue par une personne physique ou morale algérienne, le caractère solennel ou d’ordre probatoire du contrat de manutention et d’acconage, l’avis du manutentionnaire quant à l’applicabilité des clauses de mandat insérées dans les connaissements.
Le développement d’une jurisprudence montrera quelques imperfections de ce code : conversion du Franc Poincaré en Dinar Algérien, l’interprétation de la notion de valeur « courante » et « usuelle », validité des clauses de mandat, et le régime de responsabilité de l’acconier.
Enfin, nous pourrons dire que l’Algérie a procédé à une grande étape dans le système de réforme engagé.
sources : www.el-bahri.com

Béchar : Concours de pêche au barrage de Djorf Torba

Un concours de pêche récréative, auquel a participé l’Association de pêche continentale de la wilaya, a été organisé, hier, au barrage de Djorf Torba par la Chambre inter wilayas de Pêche et de l’aquaculture.
Le site et les abords du barrage ont été nettoyés, une semaine auparavant, pour permettre à la compétition de se dérouler dans de bonnes conditions. Le concours, qui a duré de 7h30mn à 17h30mn, a mis aux prises 242 concurrents qui ont utilisé un matériel et un outillage de pêche performants.
La commune de Kénadsa et l’Agence nationale des barrages ont mis à la disposition de l’association des pêcheurs un matériel d’entretien, des chaises et des tables. Le transport des concurrents et des organisateurs a été assuré bénévolement par un transporteur privé. Á la fin de la compétition, trois prix ont été décernés aux trois premiers lauréats pour des poissons de, respectivement 2,230 kg, 2 kg et 1,860 kg.
el watan : le 05/06/2010

Port de Ténès : De nouvelles perspectives pour le transport des marchandises

Une étude d’aménagement et de développement de cette infrastructure portuaire avait été menée par un bureau d’études français, dans le but d’adapter ce port aux nouvelles exigences de la navigation maritime.
Le port de Ténès a bénéficié d’un vaste programme de construction et de mise à niveau en vue de jouer véritablement son rôle dans le paysage économique local, à la lumière des mutations que connaît cette région dans tous les domaines. Il en est ainsi du projet d’extension des quais qui est en cours d’exécution et permettra sans doute d’augmenter les capacités de stockage de produits divers. Parallèlement, une étude d’aménagement et de développement de cette infrastructure portuaire avait été lancée par la SGP Sogeports en 2009.
Elle est menée par un bureau d’études français, dans le but d’adapter ce port aux nouvelles exigences de la navigation maritime, surtout en matière de transport des marchandises. Il faut dire que ce dernier est utilisé actuellement pour l’expédition de déchets ferreux vers l’étranger et l’acquisition de matières premières, de produits agroalimentaires et de matériaux de construction. Il a été enregistré, rappelons-le, un volume de 51 000t en 2009 pour les exportations et 586 864t pour les importations. Cette dernière activité a connu une augmentation de 92333t par rapport à 2008, ce qui augure d’un avenir prometteur pour le trafic portuaire dans cette partie du littoral ouest.
Cela a, bien entendu, amené les pouvoirs publics à inscrire d’autres projets pour faciliter l’accès de et vers le port de Ténès, distant de 50 km du chef-lieu de wilaya et de la nouvelle autoroute. C’est ainsi q’une voie de dédoublement de la RN 19 (Chlef-Ténès) a été retenue au titre du plan quinquennal 2010-2014, en plus d’une étude technique pour la réalisation d’une ligne de chemin de fer entre les deux villes.
el watan.
le 21/06/2010

Jet-skis : Des mesures draconiennes pour éviter les accidents


Des bouées de balisage délimitant la bande de sécurité et les couloirs d’accès à la zone de navigation des jet-skis ont été installées au niveau des quelques plages fréquentées par les amateurs.
Pour éviter d’éventuels accidents, comme ce fut le cas par le passé, les utilisateurs des hydroglisseurs (jet-skis) sont soumis à des contrôles rigoureux. Selon des sources proches de la commission du tourisme de l’APW d’Oran, aucun hydroglisseur ne franchira le rivage s’il n’est pas muni d’un permis spécial (catégorie A), de la carte de circulation et de sa police d’assurance. L’hydroglisseur doit obligatoirement être immatriculé. Des bouées de balisage délimitant la bande de sécurité et les couloirs d’accès à la zone de navigation des jet-skis ont été installées au niveau des quelques plages fréquentées par les amateurs des jet-skis dont les Andalouses.
La réglementation n’était pas appliquée

La bande de sécurité des couloirs d’accès à la zone de navigation est fixée à 300 mètres de l’espace réservé à la baignade alors que la zone de navigation est limitée en deçà de deux miles nautiques à compter de la limite des eaux. La réglementation régissant l’utilisation des jet-skis existait sous forme d’un arrêté du ministère des Transports promulgué le 13 juillet 2003 mais n’était pas appliquée. A Oran, le non-respect des règles d’usage de cet engin est en effet à l’origine de beaucoup d’accidents ayant fait des morts en 2005 et 2006. Rappelons que, pour la location d’un jet ski, le prix est fixé à 3.000 DA la demi-heure.
el watan : le 20/06/2010

Libya and Algeria to build superyacht berths

By IBI Magazine

Italian firm Ingemar has been contracted to supply pontoons for new marina facilities in Libya and Algeria which will include new superyacht berthing. At Port de Peche de Stora in Algeria, the existing fishing port will be expanded to accommodate a new basin for tourist yachts. It will provide 320 berths up to 30m (98ft).
Ingemar says it has also been asked to supply pontoons for a new marina in the Porto di Andalous development near Tripoli in Libya. Planning is still in progress but it is thought that superyacht berths will be included.Both countries possess considerable tourism growth potential and authorities are starting to recognise the full importance of yacht marinas.Dubai property developer Emaar is overseeing the developments in both countries.
(27 May 2010)

INGEMAR EXTENDS THEIR OPERATIONS IN THE MEDITERRANEAN IN ALGERIA AND LIBYA

The first yachting establishments in north Africa, at Stora and Tripoli, will have multi-purpose floating pontoons Milan, 24 May 2010. Moorings with new multi-purpose floating pontoons by Ingemar, under the 'Made in Italy' trademark, 'land' on the African continent bringing new life to two Mediterranean tourist ports in Algeria and Libya.
Ingemar's international reputation was the decisive factor in acquiring these two important commissions, as well as the fact that the two port constructors have worked well with Ingemar in the past on the marinas of Novigrad and Hammamet. Port de Peche de Stora (Algeria). The asignment at Stora is to enlarge the existing fishing port by building an inner basin for both professional and sporting fishing boats, as well as creating an external basin for tourist yachts. This initiative is the result of previous cooperation between Ingemar and INGRA of Zagabria (Croatia), which has for some time been operating in Algeria.
The new port at Stora will provide space for 320 boats of 6 to 30 mts in length, which will be moored partly on the piers and partly on Ingemar's floating pontoons. The fingers, anchored by chains and deadweights, will extend for an overall length of approximately 300 mts and will be constructed with galvanised steel frames, tropical hardwood decking and floating elements of concrete with expanded polystyrene nuclei. The pontoons will be of the King size type, 3 mts wide, to moor tourist yachts whereas the moorings for fishing boats will be 2.5 mts wide. Porto di Andalous Marina (Tripoli – Libya).
This is the first time that Ingemar's floating pontoons have been used along Libya's coastline: the firm of Etraph from Tunis (Tunisia) chose Ingemar to supply floating pontoons creating the first tourist port at Tripoli, which will be part of a new, modern hotel and residential complex at Citè Andalous. For this commission the pontoons will be constructed of aluminium and placed parallel to the piers, to which they will be connected by a system of girders and sliding devices, and also in part placed at right angles and anchored to the sea bed by chains and deadweights.
For over 30 years Ingemar has been designing and building pontoons and floating breakwaters worldwide and today is one of the few companies in the sector having its own independent production facilities which allows it to carry out Research and Development in order to anticipate market demands. The ISO 9001 certification for design, construction and installation testifies to its constant dedication and commitment to quality and is complemented by the SOA certification by the port sector for commissions of up to Euro 15,5 million. The company's Head Offices are in Milan and production and customer services are at Casale sul Sile in the province of Treviso.

Tigzirt : Portes ouvertes sur la voile


La Base Nautique de la ville de Tigzirt abrite depuis le 1er juin des journées Portes ouvertes sur la voile.

L’inauguration, suivie d’une collation, s’est faite en présence des autorités locales, d’élus locaux et de quelques députés. Le staff technique, à leur tête Hocine Boutferni, et quelques athlètes du Cap Mer de Tigzirt, un club de voile, ont été récompensés pour les résultats obtenus depuis trois ans déjà dans les différentes compétitions auxquelles ils ont participé. En effet, de nombreuses coupes ornent la grande salle de la Base Nautique, accompagnées pour la circonstance de photos et autres articles de presse qui retracent 20 ans d’existence de ce club, qui faut-il le rappeler a été créé en 1990. Les visiteurs ont également eu un aperçu sur le sport nautique par une exposition du matériel et des équipements indispensables à la pratique de la voile, du laser etc..., dans la cour de cette enceinte sportive. Notons enfin que la coupe d’Algérie en séries « Optimist » et « Voile » aura lieu à Tigzirt, cet été, selon un membre de ce club.
el watan
le 03/06/2010

Port de plaisance (Raïs Hamidou) : Le projet toujours en hibernation

Les travaux de réalisation du port de plaisance de Raïs Hamidou ont été lancés, théoriquement, « le mois de mars dernier », a indiqué le P/APC, Boudjemaâ Zaïoua, rencontré la semaine dernière dans son bureau.

La société nationale chargée de la réalisation de cette importante infrastructure « est en train de préparer la pierre utilisée dans ce genre de chantier », a expliqué le maire, affirmant que « les travaux devraient commencer effectivement dans les semaines à venir », sans néanmoins avancer une date précise. En fait, ce port de plaisance, tant attendu par les habitants de l’ex-Pointe-Pescade, tarde à voir le jour. Le premier magistrat de la commune a, à maintes reprises, avancé des dates de début de travaux, mais sans suite. Le mois d’avril de l’année passée, le maire a déclaré que les travaux seront lancés au deuxième semestre de l’année 2009. Hélas, on est déjà au deuxième semestre de l’année 2010 et le premier coup de pioche n’y a toujours pas été donné.
El watan
le 08/06/2010

Transport maritime : Un nouveau carferry affrété pour la saison estivale

Le carferry « Ariadne » vient d’être affrété pour cette saison estivale par l’Entreprise Nationale de Transport Maritime des Voyageurs (ENTMV) pour assurer le transport des vacanciers émigrés à partir des ports de Marseille (France) et d’Alicante (Espagne) vers celui d’Oran.
Il a une capacité de transport de 1900 passagers et 600 véhicules. Il vient ainsi compléter la liste des autres navires de transport de voyageurs appartenant à l’entreprise nationale qui sont mis en service sur ces trois lignes maritimes pour la saison estivale 2010. Il s’agit du Tassili II et El Djazaïr II. Le programme horaire des car-ferries, valable du 1er juin au 30 septembre prochain, est disponible à partir de cette semaine à Oran à travers l’ensemble des agences commerciales de l’ENTMV et celles agréées. Il est également affiché au niveau de la direction régionale de l’entreprise. Selon M.Abdelkrim Ould Lala, qui assure l’intérim, pour cette nouvelle saison estivale, surtout pour les mois de juin, juillet et août , il a été programmé quelque quatre-vingts rotations à partir des deux principaux ports de Marseille et d’Alicante avec l’accostage d’en moyenne deux navires de voyageurs par jour à Oran.

La direction régionale, annonce-t-on, a mis en place, au niveau du port d’Oran, son dispositif traditionnel pour l’accueil des vacanciers ainsi que leur sensibilisation surtout pour ce qui est de la phase retour en raison du mois de ramadhan et la rentrée scolaire en France. Elle invite les passagers à confirmer la date de leur retour auprès des agences commerciales de l’entreprise. Ils doivent être présents 4 heures à l’avance au niveau du port d’Oran pour ce qui est de leur embarquement, surtout pour les passagers véhiculés.

Par T. K
el watan
le 02/06/2010

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