Préparation de l’opération « Ports Bleus-Algérie 2014




Dans le cadre de la préparation de l’opération « Port Bleus-Algérie 2014 » qui sera organisée Sous le Haut Patronage de Monsieur le Ministre de Pêche et des Ressources Halieutiques et sous l’Egide de Monsieur le Wali de la Wilaya d’Alger le samedi 07 juin 2014 à partir 08h30 au niveau des ports de pêche et de plaisance de la wilaya d’Alger (Sidi Fredj, El Djamila, Rais Hamidou, Alger,Tamentfoust), une réunion de préparation est tenue avec la participation des organismes suivants :
• Académie de l’éducation Alger centre.
• Direction des travaux publics de la Wilaya d’ Alger.
• Direction de la jeunesse, des Sports et des loisirs de la Wilaya d’Alger.
• Entreprise de Gestion des Ports et abris de Pêche.
• Stations Maritimes des ports de pêche (Sidi Fredj, Alger, Tamentfoust).
• Association de plongée sous marine (EL Mordjane)
- CSMDZ.ORG la référence de la pêche sportive en apnée en Algérie.
• Protection civile.
• Collectivité locale ( APC Rais Hamidou, APC Tamentfoust )
• Chambre de la Pêche et de l’aquaculture de la Wilaya d’Alger.
• Net com
• Extra net
• Institut National Supérieur de la Pêche et de l’Aquaculture.
• Agence de Protection et la Promotion du Littoral de la Wilaya d’Alger
• Association de protection de l’environnement (Rais Hamidou, cœur bleu)
• Association pour la sauvegarde d’El Djamila .
• Ness el khir Algerie.
• Ligue de voile d’Algerie.
• Musée Marins, ANPP, (Association Nationale de Pêche Plaisancier).
• Chef d’antenne de Pêche (El Djamila, Alger, Tamentfoust)
Le mercredi 28 mai à partir de 09h00 au siège de la Direction de la Pêche et des Ressources Halieutiques wilaya d’Alger.

Le championnat régional de pêche sportif en apnée 2014


a nos chers athlètes
le 06-07 JUIN 2014, rendez vous au port de CHERCHELL a 7:30 h
Pour plus d'information contactez le président de la section chasse sous marine du club OXYGENE Mr ARAB ABDELLAH au 07 71 02 14 98

 مبادرة جد هامة قامة بها مدرسة التكوين التقني للصيد وتربية المائيات لشرشال بالتعاون مع غرفة الصيد لولاية تيبازة وهي الشروع في تكوين بحارة مؤهلين في أقسام خاصة وهذا لمساعدة البحارة في تسوية وضعيتهم والحصول على شهادة تمكنهم من العمل بطريقة قانونية على متن سفن الصيد والحصول على دفتر الملاحة البحرية.هذه الأقسام موزعة على مختلف بلاديات دائرة بوإسماعيل وهي خميستي ميناء خميستي مدينة وبلدية عين تاقورايت .هذا التكوين يسمح للبحارة الحصول على مختلف الدروس الخاصة والمحضرة خصيصا لهذا التكوين ويشرف على هذا التكوين أساتذة من مدرسة التكوين التقني للصيد وتربية المائيات وأساتذة مشاركين من خارج المدرسة ذوي خبرة.حيث إستحسن جميع التلاميذ البحارة هذه المبادرة والتي يعتبرونها أملهم الوحيد في تسوية وضعيتهم.الشكر كل الشكر للسيدة مديرة مدرسة الصيد لشرشال و كل العاملين في غرفة الصيد لولاية تيبازة وبالأخص السيد وحيد الساهر على ضمان كل الإمكانيات لإنجاح هذا التكوين .بي التوفيق

Samia Balistrou. Première femme examinatrice de plongée sous marine en Algérie : «Je ne comprends pas pourquoi les Algériens tournent le dos à la mer»

Pionnière dans un domaine considéré comme la chasse gardée exclusive des hommes en Algérie, Samia Balistrou, cette femme, qui se décrit comme la baleine de la méditerranée, est fière d’avoir accumulé trente ans d’expérience dans la plongée sous marine. Licenciée en sport, animatrice d’une émission sur l’environnement à radio Tipasa, en plus d’avoir le titre d’examinatrice de 3ème degré en plongée sous marine, elle est présente à Jijel pour un stage sur la biologie subaquatique.

- Comment avez-vous été initiée à la plongée sous marine ?
C’est à partir de notre balcon, quand j’habitais Alger, que j’ai découvert le monde fascinant de la plongée sous marine par le biais du club «Espadon» que j’ai connu par la suite au siège de la fédération de plongée à la place des Martyrs. Le premier contact m’a permis d’entamer mon 1er niveau en 1985, le 2eme en 1986 et le 3ème en 1987, ce dernier niveau, organisé pour des plongeurs professionnels, a confirmé toute ma place dans ce domaine. Les examinateurs français, m’ont alors proposé de passer le monitorat en France; que j’ai effectué en 1989 à Bandol.

- Quelle appréciation faite vous de ce monde sous marin ?
Depuis que j’ai mis la tête sous l’eau, ma vie a changé ; j’ai découvert un monde qui m’a fasciné depuis le début. J’ai appris alors à le connaître, à l’apprécier, à le respecter et surtout à le protéger. On comprend la magie des écosystèmes, on admire la beauté de la faune et de la flore et on se sent enveloppés par l’eau qui nous permet d’évoluer en 3 dimensions, dans le monde du silence, dans le dernier espace sauvage sur notre planète.
- Il semble qu’il y a de plus en plus de femmes qui pratiquent la plongée sous marine ?
La plongée s’est développée avec les équipements de plus en plus fiables et confortables. Les femmes ont certes des prédispositions pour cette activité qui est à la fois un sport et un loisir ; elles ne sont pas nombreuses, mais je crois qu’elles se montrent intéressées pour cette activité quant elles ont l’occasion.
Dans notre pays, c’est encore une activité réservée aux hommes, mais ces dernières années, on voit des femmes dans presque tous les clubs algérois.
- Vous avez été retenue pour le tournage d’un reportage en Algérie au profit de l’émission Thalassa
C’est un grand honneur pour moi et un rêve pour la plongeuse que je suis, et fan de cette émission.  Les concepteurs de ce reportage m’ont proposé de les suivre pour ce tournage dans plusieurs séquences sur nos côtes et je suis fière d’être la représentante de la plongée dans mon pays.
Doyenne et pionnière dans l’encadrement dans le monde arabe et africain, mes trois décennies de plongée m’ont  permis de faire de l’archéologie, de la plongée technique aux mélanges, de la biologie et de la photo et vidéo. La plongée m’a ouvert l’horizon sur 180°, où j’ai appris à connaître un autre monde dans toute sa complexité, à l’aimer et à ne vivre que pour le protéger, mon combat aujourd’hui est celui de le protéger de la pollution, de la sur pêche, des activités humaines irresponsables ; on voit la mer comme une ressource intarissable et aussi comme une poubelle, pourtant, on s’est rendu compte qu’elle était fragile et vulnérable. Pour comprendre l’importance de la protection de ce milieu, il faut juste mettre un masque pour voir sa beauté  et se dire qu’il faut vraiment le préserver pour nous et pour nos enfants ;  je ne comprends toujours pas pourquoi les Algériens tournent le dos à la mer qui a tellement à offrir.
Amor Z.
Sources :  http://www.elwatan.com/regions/est/jijel/je-ne-comprends-pas-pourquoi-les-algeriens-tournent-le-dos-a-la-mer-03-05-2014-255649_130.php

Rencontre sur la biologie subaquatique : A la découverte de la flore et de la faune sous-marines

L’engouement pour le milieu marin et la plongée s’est nettement développé ces dernières années, surtout parmi la gent féminine.

Les férus de la plongée sous marine et les adeptes de la biologie subaquatique sont depuis mercredi 30 avril, jusqu’au 7 mai, en conclave pour un stage de formation à Jijel. Initié par la commission scientifique de la fédération algérienne de sauvetage, de secourisme et des acticités subaquatiques (FASSAS), ce rendez-vous s’inscrit dans le cadre de la réalisation du plan d’action de la saison 2014 pour la formation en biologie subaquatique au profit des plongeurs et moniteurs algériens.
L’objectif recherché est de permette au public ciblé d’aller à la découverte de la flore et de la faune sous marines dans leurs milieux, d’avoir des notions élémentaires de biologie dans le monde subaquatique et de se former en vue de l’obtention des diplômes de la FASSAS, en collaboration avec la fédération française de ces activités. Cette formation, qui se déroule à l’initiative de la fédération algérienne, s’effectuera en collaboration avec le parc national de Taza et le club Les gens de la mer, qui a pris en charge le sponsor de cette rencontre scientifique.
Le staff formateur qui supervisera ce stage est composé de deux instructeurs français spécialisés en biologie sous marine de la région de Marseille. Sollicité pour donner son point de vue sur cette rencontre, Mr Bernier, l’un des instructeurs français a indiqué que sa présence à Jijel fait suite à une invitation du président de la commission scientifique de la FASSAS, Abdi Mouloud, pour une formation sur le bioenvironnement pour des plongeurs algériens.
Notons que le programme de ce rendez-vous scientifique inédit qui se déroule pour la première fois en Algérie  portera sur la présentation d’une quinzaine de communications, qui aborderont les milieux aquatiques en méditerranée en détaillant les divers embranchements d’animaux et de végétaux observés sous l’eau par les plongeurs. En plus des plongées qui seront effectuées chaque jour, des rendez-vous de découvertes sont également prévus, en fonction des moyens et de la météo, dans les sites remarquables de la wilaya de Jijel. Les gestionnaires du parc national de Taza (PNT), par le biais de leur spécialiste scientifique, Nadia Ramdane, ont pris le soin, à l’ouverture des travaux, de présenter une conférence sur l’aire marine protégée.
Par ailleurs, il est à rappeler que le PNT a organisé des formations similaires en 2010 au profit de plongeurs de la wilaya de Jijel et des parcs Nationaux de Gouraya et d’El Kala. En termes d’évolution de la plongée sous marine à Jijel, il y a lieu de noter que cette activité, et après avoir connu un net recul durant presque une décennie, est en train de connaître un souffle nouveau. Si de 2004 à 2011 aucune formation n’a été enregistrée, en 2012, 20 plongeurs ont pu reprendre goût à l’activité. Ce chiffre est monté en flèche ces deux dernières années pour atteindre 120 plongeurs, dont des femmes, ce qui est encore inédit dans cette wilaya. 

Amor Z.

Sources :  http://www.elwatan.com/regions/est/jijel/a-la-decouverte-de-la-flore-et-de-la-faune-sous-marines-03-05-2014-255647_130.php

Première régate à la mémoire des dockers martyrs : Un sourire se dessine sur la côte algéroise

La première régate de l’histoire de l’Algérie indépendante a enfin eu lieu ce 2 mai 2014, à Alger, au grand bonheur des amoureux de la mer et de la plaisance.

La commémoration du lâche attentat terroriste de l’OAS au port d’Alger le 2 mai 1962, emportant la vie de 200 dockers algériens, a été l’occasion pour l’Association nationale de plaisance et de motonautique et la Fédération algérienne de voile d’organiser cette toute première régate à laquelle ont pris part une trentaine de bateaux et motos marines. Baptisée «Mémoire du 2 mai 1962», la régate a pris son point de départ du petit port de plaisance de Sidi Fredj, direction le port d’Alger.
Les voiliers, en mouvement grâce à la force du vent, sont les premiers à prendre le départ au petit matin, à 5h. Sous le beau ciel bleu d’Alger. La traversée inédite a créé un beau mouvement sur la côte algéroise qui tranche avec le spectacle peu esthétique des bateaux de marchandises en rade. Ces grandes colombes valsent chacune à son rythme sur ce bout de la mer Méditerranée ouvert à l’échange et au partage. La blancheur des bateaux en mouvement sur le bleu de la mer marquait la naissance d’une tradition en Algérie, celle du triomphe du loisir sur la tristesse. La concurrence se met en place et chaque régatier essaye de se frayer le meilleur chemin pour arriver le premier. Les voiliers sont vite rattrapés par les bateaux à moteur, fendant à grosses lames l’étendue marine. Mohamed, avec sa bouille de capitaine du Titanic, se réjouit de passer avec sa belle Vedette en vrombissant devant un voilier. Mais fair-play comme il est, il laisse toutefois passer les voiliers devant, pour mouiller au port d’Alger.

Une fois n’est pas coutume
Un remorqueur fait son cinéma non loin du port avec des jets d’eau à n’en pas finir pour souhaiter la bienvenue à ces visiteurs du jour qui viennent disputer des places aux gros porteurs et navires de marchandises. Les marins du loisir et ceux de métier se saluent et se lancent des signaux entre gens de la mer qui ont l’amour de la grande bleue en partage. Une fois n’est pas coutume, le port d’Alger est accessible aux plaisanciers ; la délégation composée de membres de l’ANPM se met en marche pour rejoindre la stèle érigée à la mémoire des dockers martyrs. Après le dépôt d’une gerbe de fleurs, l’appel de la mer se fait pressant, retour aux bateaux et cap sur Sidi Fredj, la course continue. Les voiliers se mettent en ordre de départ, les bateaux à moteur leur donnent une longueur d’avance.
Les voiliers se laissent guider par le vent qui n’est pas très puissant en cette journée printanière. Les poissons n’ont pas mordu à l’hameçon des amateurs de pêche, mais la baie d’Alger s’est bien laissée prendre par les smartphones en agitation devant ses courbes et ses couleurs. D’est en ouest, la côte algéroise s’est offerte en trophée aux regards admiratifs, ne cachant pas une volonté de s’ouvrir sur la mer et de troquer sa triste mine pour une joie de vivre éternelle. Les plaisanciers ont bien compris son souci, et ont répondu en fardant sa côte de jeu et de course apportant un brin de douceur de vivre à un quotidien algérois souvent mélancolique.
Un seul grand gagnant hier, c’est ce regroupement de plaisanciers qui ont pu concrétiser l’initiative de lancer la toute première régate algérienne. Une initiative qui se renouvellera, promettent les responsables de l’ANPM, dans les différentes localités côtières d’Algérie.

Nadjia Bouaricha
Sources :  http://www.elwatan.com/actualite/un-sourire-se-dessine-sur-la-cote-algeroise-04-05-2014-255845_109.php

Nouha Akil. Véliplanchiste : J’ai beaucoup progressé

A 15 ans, la véliplanchiste algérienne Nouha Akil a été sacrée championne d’Afrique en formule Laser 4.7, qui s’est déroulée du 1er au 7 de ce mois au barrage de Beni Haroun dans la wilaya de Mila. Nous l’avons rencontrée     après avoir savouré le plaisir de son beau titre. Elle a répondu à nos questions.

-Tout d’abord une petite carte de visite…
Je débuterai en vous disant que je suis née le 6 janvier 1999. Je suis lycéenne et j’ai commencé la pratique de la voile en 2008 au club du CN Tipaza sous la houlette de Abderrahmane Taouri. Ma première sélection en équipe nationale remonte à 2010 et c’est Fatima Mahmoudi qui m’entraîne dans la spécialité Laser 4.7.   

-Vous attendiez-vous à ce sacre africain?
A vrai dire, je me suis bien préparée. Mon programme en vue de ce championnat d’Afrique était basé sur des entraînements réguliers au niveau du club et des stages répétitifs avec la sélection nationale. Avec mes coéquipiers de l’EN, on a eu l’avantage de nous préparer pendant de longs séjours au niveau du barrage de Beni Haroun, lieu qui a abrité le Championnat d’Afrique. Donc, j’ai eu des repères et j’ai beaucoup progressé. Pour ainsi dire, je m’attendais un peu à ces bons résultats, malgré le très bon niveau et la rude concurrence des Sud-Africaines.

-Vous avez eu ce titre grâce à votre entraînement ou à votre volonté ou bien encore à la faiblesse de vos adversaires ?
Je n’hésite pas pour vous dire et sans rechigner, que c’est avant tout grâce à ma volonté, j’en suis certaine. Néanmoins, je ne vais pas,  mésestimer les durs entraînements que nous avons subis mes coéquipiers et moi et qui ont été d’un apport fondamental pour mon sacre. J’ajouterai que cela ne fait pas longtemps que je navigue sur le support Laser 4.7, mais les entraînements et la préparation ont été d’un grand apport. Par ailleurs, je tiens à vous préciser que les adversaires n’étaient pas faibles, surtout les Sud-Africaines qui ont un bon niveau international.

-Pourquoi avez-vous choisi la voile comme sport ?
J’ai commencé la pratique de la voile à Cherchell. Mon frère et des voisins pratiquaient ce sport. Ceci a éveillé en moi une curiosité envers ce sport nautique, car j’étais attirée par la mer. Dès que j’ai commencé la pratique et la compétition de voile en série Optimist, cela m’a énormément plu. Ce qui m’a encouragé à persévérer.

Salim R. O.
Sources :  http://www.elwatan.com/sports/nouha-akil-veliplanchiste-j-ai-beaucoup-progresse-16-05-2014-257326_110.php

Un requin pèlerin de 7m s'échoue à Honaine (Tlemcen)



De par leur régime alimentaire planctonivore, les Pèlerins sont inoffensifs pour l'homme. Leur comportement n'est pas agressif et ils n'attaquent pas les plongeurs et les bateaux. Cependant, du fait de leur taille, ils ont une force énorme et peuvent blesser un plongeur dans un mouvement de fuite ou de défense. De plus, leur peau couverte de denticules est abrasive comme du papier de verre.

Sources :  http://www.vitaminedz.com/un-requin-pelerin-de-7m-s-echoue-a-honaine-tlemcen/Photos_0_188143_0_1.html

Nettoyage des sablettes par la wilaya d'alger ,aprés les scouts a la montagne ,l'air marin nous fait du bien


Laser 4.7 African Championship 2014




The first ever Laser 4.7 African Championship recently took place at Beni Haroune dam in the province of MILA, Algeria.  The event took place between 1st and 7th May 2014.  A total of 34 sailors competed from Algeria, Angola, Egypt, Morocco, Mozambique, South Africa and Tunisia.
In the men’s competition Georgou Diuaris from South Africa was crowned the winner followed by his teammate Dylan Long.  In third place, close on the heels of Dylan, was Algerian sailor Abdelkhalek Boussouar.
The women’s Laser 4.7 African Championship winner was Nouha Akil, aged 15, from Algeria.  In second and third place were South Africa’s Ashleigh Hellstrom and Megan Robertson.
Further information can be found on the host’s website at: http://laser2014.favoile.dz/index.php

Sources :  http://www.laserinternational.org/info/laser47africanchampionship2014

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